Le 4 décembre 2017, une délégation de la Haute Autorité s'est rendue à Strasbourg à l’invitation des autorités françaises pour participer aux discussions en séance plénière du Groupe d’États contre la corruption (GRECO).
Cette possibilité, d’un conflit d’intérêt « public-public » ne paraît pas exister dans la plupart des autres systèmes juridiques.
M. Oluseun Onigbinde est le co-fondateur et dirigeant de l’organisation BudgIT, pionnière au Nigeria dans l’application des nouvelles technologies de l’information et de la communication appliquées aux questions de bonne gouvernance.
La Haute Autorité rend aujourd'hui publique la version consolidée de ses lignes directrices relatives au répertoire des représentants d’intérêts.
Le SPIO se réunit deux fois par an et a notamment été à l’initiative de la mise à jour de la recommandation de 1998 sur l’intégrité dans le secteur public.
Cette délégation était composée de deux magistrats du tribunal de première instance de Tunis et de quatre magistrats et enquêteurs de l’INLUCC, l’Instance Nationale de Lutte Contre la Corruption.
Ce séminaire, co-organisé par l’Agence française anticorruption et l’Ecole nationale de la magistrature, présentait les différents éléments de la politique anticorruption française.
Le Groupe d’États contre la corruption est l'organe chargé de veiller au respect des normes anticorruption du Conseil de l’Europe. Il a publié un rapport qui analyse les principales tendances, les défis et les bonnes pratiques en matière de prévention de la corruption dans la législature et le pouvoir judiciaire.
Cette conférence, qui s’inscrivait dans le cycle « Regards sur l’actualité », a été l’occasion d’exprimer un souhait, dès le titre de son intervention : « Pour une culture de l’intégrité ».
Ce réseau réunit de façon indépendante et informelle des organismes de surveillance des forces de police et des autorités anti-corruption d’États membres de l’Union européenne et du Conseil de l’Europe.